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Quizz des citations en bourse

Qui a dit :Plus d'argent a été perdu en bourse en essayant d'éviter les baisses que pendant les baisses
Qui a dit :75 % du temps les indices évoluent en dessous de leur dernier plus haut
Complétez l'expression : Il faut acheter au son du canon et vendre au son du....
Qui a dit : la bourse je m'en fous, j'ai choisi la vie!
Complétez l'expression : acheter la rumeur et vendre la....
Qui a dit : Les intérêts composés sont la plus grande force de l'univers!
Qui a dit : Gagner de l'argent en bourse est facile, le plus dur c'est de ne pas le reperdre
Qui a dit :Les arbres ne montent pas jusqu'au ciel
Qui a dit :C’est quand la mer se retire que l’on voit ceux qui se baignent nus
Qui a dit :Notre sentiment est que la seule utilité des prévisionistes de la bourse est d’améliorer l’image des diseuses de bonne aventure. Charlie (Munger) et moi continuons de penser que les prévisions de marché à court terme sont un poison qui devrait être tenu loin des enfants autant que des adultes qui se comportent comme des enfants
Quizz des citations en bourse
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Bourse et frustration

Comment ne pas être frustré quand on investit en bourse? Cette question, vous vous l’êtes certainement posée. Nous allons justement voir dans cet article qu’il existe des moyens de diminuer ce sentiment. Ou comment investir en bourse et échapper à la frustration.

Bonne lecture!

Vous reconnaissez-vous?

Vous venez de vous inscrire à la Newsletter PEA rentier (par exemple!) et avez choisi de tester la Stratégie Mensuelle. Vos ordres sont exécutés. Et maintenant, qu’est-ce qu’il se passe dans votre tête?

Si vous êtes débutant (ou pas), vous allez avoir une fâcheuse tendance à regarder votre compte plusieurs fois par jour pour voir « si ça monte ».

Le problème c’est que la bourse, ça bouge beaucoup, au cours d’une seule journée…à la hausse comme à la baisse, et encore plus au cours d’un mois !

La Stratégie Mensuelle n’est efficiente que si l’on n’opère qu’une fois par mois. Si vous êtes tenté de vendre parce que l’un des titres a perdu 8 ou 10 %, ou gagné 25 % en dehors des plages prévues, ça sera contre-productif et générateur de frustration.

 

Les mois passent…

Au bout de quelques mois, vous allez vous rendre compte que les titres de votre portefeuille passent par des hauts et des bas, ce qui est tout à fait normal. 

J’ai par exemple en ce moment un titre depuis plusieurs mois qui est à +30 % de plus-value, un autre qui est à +8 % alors qu’il était à -8 % il y a quelque semaines. Un autre qui végète à +1 % depuis 3 mois et un autre à -9 %. Pour autant, je ne touche à rien tant que je n’ai pas de signal de vente.

Forcément, quand on achète un titre et qu’il se met à baisser, ou quand il est en plus value puis repasse en moins value, il y a forcément de la frustration. Rassurez-vous, vous allez voir qu’au fil des mois, tout va rentrer dans l’ordre, vous allez vous y habituer et vous serez de plus en plus détachés. Ce comportement est juste humain.

 

Un indice boursier passe les 3/4 de son temps en dessous de son dernier plus haut historique :

Cela est facile à mettre en évidence. Si nous prenons par exemple le CAC40 qui est actuellement aux alentours de 5700-5800 points. De quand date le dernier plus haut historique ? Réponse : il date de mars ou avril 2007, il y a donc plus de 10 ans ! Donc quelqu’un qui aurait investi dans l’ indice boursier CAC40 (ce n’est pas notre cas) en 2007 en le conservant a vu son portefeuille dans le rouge depuis plus de 10 ans ! Ce qui ne veut pas dire qu’il ne sera pas gagnant dans quelques années (voir mon article précédent et l’évolution des indices sur le long terme).

Forcément, pour cet investisseur, il peut y avoir de la frustration si son plan était le buy and hold (acheter et conserver) et pourtant…il peut s’en sortir gagnant s’il est patient!

Attention, je ne dis pas qu’il ne faut jamais vendre. Quelle que soit la méthode utilisée, vous devez absolument avoir des critères de vente (à la hausse et surtout à la baisse).

Ce dernier exemple est une extrapolation, mais finalement, c’est un peu toujours la même chose. On ne peut pas  gagner tout le temps !

J’ai fait le test : statistiquement, sur 100 ordres d’achat passés, 90 évoluent temporairement en dessous de ce prix d’achat dans les jours qui suivent avant de repartir à la hausse, ou pas. Seulement 10% partiront directement à la hausse sans repasser par la case départ! Vous comprenez mieux pourquoi cela peut générer des émotions. Sur les 90 achats, plus de  la moitié finiront en plus value. Imaginez le carnage si vous revendez systématiquement à la moindre baisse…vous allez vous priver de belles plus values. 

 

Avoir confiance en sa stratégie

Pour ne pas céder à la tentation de vendre prématurément il faut absolument avoir confiance en sa méthode. Si vous disposez de statistiques (volatilité, drawdown max…), de backtests, si vous savez comment elle se comporte lorsque les indices boursiers sont en berne, vous ne serez pas surpris lorsque une baisse temporaire se produira. Par contre si vous ne savez pas ou vous allez parce que vous investissez au feeling, vous ne tiendrez pas et vous céderez dès la première hausse ou baisse.

Un exemple récent, l’année 2018. L’année 2018 a été particulièrement mouvementée, surtout en fin d’année ! Et pourtant, malgré des mois négatifs, l’année a été positive, de peu c’est vrai (Voir le tableau de résultats ici), mais mieux que l’indice CAC40. C’était un très bon test que je suis content d’avoir réussi : tenir. Je ne dis pas que c’est facile. Mais rassurez-vous, ce genre de périodes n’arrive pas tous les ans !

 

La stratégie d’investissement Mensuelle que je vous propose :

Elle a l’avantage de ne pas générer de longues séries de mois consécutifs en baisse.  C’est très important pour le moral de ne pas voir son portefeuille évoluer à la baisse durant de longs mois ! Par rapport à un buy and hold, nous sommes donc mieux lotis coté frustration (1 an de baisse entre 2007 et 2008 sur le CAC40 par exemple).

Petite parenthèse : être 80 % du temps gagnant ne veut pas forcément dire sortir avec des gains ! Si les 20 % du temps restant vos pertes sont énormes, le portefeuille sera forcément perdant. La stratégie Mensuelle génère des mois perdants, forcément, mais qui n’empêchent pas d’obtenir une bonne performance au final parce qu’ils ne sont pas nombreux et génèrent des pertes modérées.

Il est important donc d’être patient et de ne surtout pas intervenir en dehors des 10 minutes mensuelles, en temps voulu. Si la bourse part à la baisse, pas de panique, et pas besoin d’essayer d’anticiper, nous aurons un signal qui nous dira de sortir. Idem dans l’autre sens, quand les actions investies auront épuisé leur potentiel de hausse, nous le saurons sans ambiguïté en suivant le plan. Si vous suivez votre stratégie, la bourse sera beaucoup moins synonyme de frustration pour vous!

 

Soyez patient !

On rêve quand on débute en bourse de voir son portefeuille s’envoler du jour au lendemain. Vous aimeriez également n’avoir que des mois positifs avec des rendements à 2 chiffres en fin d’année. Mais cela n’est pas possible sur le long terme. Pour générer une performance de 20 % par an, il faut engranger environ 1,5 % par mois, tous les mois. Cela paraît très peu et pourtant, croyez-moi, c’est loin d’être évident ! Il ne faut donc pas se fixer des objectifs de gains mensuels réguliers. Si vous me suivez, vous avez du constater qu’ on n’est pas à +2 % chaque mois!.

 

70% du temps il ne se passe pas grand chose en bourse

La performance d’une année se joue souvent sur quelques mois. Vous le verrez, un peu comme la performance sur le long terme se joue sur quelques années. Vous rencontrerez des périodes au cours desquelles il ne se passera pas grand-chose, c’est d’ailleurs la majorité du temps.

Durant ces périodes, vous vous direz d’ailleurs « heureusement que je ne dois pas rester scotché devant mon écran. Sinon quel ennui !» et subitement, des périodes d’envolées. C’est le propre de la bourse !

Ci-dessous en guise d’illustration, la dispersion des performances mensuelles de la stratégie au fil des années. Comme vous pouvez le voir, nous avons pas mal de mois en  pertes ou gains modérés et quelques mois de gains explosifs qu’il ne faut pas louper ! En jaune, la performance moyenne mensuelle. Voyez-vous une évolution dans la dispersion au fil des ans ? Non ? C’est normal ! et heureusement car cela voudrait dire que le concept sur lequel est basé la stratégie est biaisé.

Représentation de la dispersion de la performance mensuelle de la "Stratégie Mensuelle"
Dispersion Mensuelle de la performance

Conclusion

La frustration fait donc partie du jeu en bourse, il faut absolument en être conscient au risque de se lasser rapidement. Quand il ne se passe rien, en gros 70% du temps , ou quand il y a des baisses provisoires, il faut rester zen. Plus vous serez détaché de votre portefeuille en dehors des moments au cours desquelles vous devrez agir, moins vous serez frustré et mieux votre portefeuille se portera !

Quelle que soit la méthode adoptée, si vous changez sans arrêt votre fusil d’épaule en cours de route, vous risquez de passer à côté de ces mois de super rendement et donc à côté d’une partie de la performance, et vous le regretterez !

Vous voulez tester la Stratégie Mensuelle? Inscrivez-vous !

A bientôt !

Laurent

Choisir la bonne unité de temps en bourse

C’est quoi une unité de temps en bourse?

Il existe plusieurs unités de temps (ou UT) en bourse, représentant des intervalles de cotation, pouvant aller de la nanoseconde  à l’année. Pour chaque unité de temps, il y a une cotation d’ouverture et une cotation de clôture en début et en fin de période.

Par exemple, en UT mensuel : la cotation d’ouverture est en début de mois et la cotation de clôture en fin de mois.

Quelqu’un qui investit en UT mensuelle garde en principe sa position un à plusieurs mois. En UT horaire, la position est souvent tenue moins d’une journée.

La différence ? Dans le premier cas, pas besoin de suivre les cours de la bourse pendant la journée alors que dans l’autre, c’est nécessaire.

Quelle unité de temps adopter en bourse ?

Il n’y a pas vraiement de réponse à cette question, cela ne dépend que de vous ! En tout cas, ce qui est sûr, c’est qu’une même stratégie d’investissement ne fonctionnera pas de la même manière avec tout le monde. Par exemple, peu de gens sont capables de gagner de l’argent en pratiquant le scalping ou le daytrading (trading à des UT très courtes : inférieures à l’heure). Ça n’est pas impossible, il y a des gens qui pratiquent et qui s’en sortent très très  bien, mais ils ne sont pas nombreux ! Le trading en UT courtes demande des qualités très particulières. Peu d’entre nous disposent de ces qualités. Vous comprenez pourquoi 80 % des gens perdent de l’argent en bourse en s’y frottant. Cette discipline est très grisante, parcequ’elle provoque des montées d’adrénaline mais c’est justement là qu’est le piège pour pas mal d’investisseurs.

Si vous vous formez au scalping ou au daytrading mais que vous avez du mal à gérer votre stress ou votre discipline, vous ne vous en sortirez pas et vous ferez partie des 80 %.

Il ne suffit pas de vouloir appliquer une stratégie pour réussir en bourse, il faut d’abord être capable de la tenir longtemps, dans les bons et les mauvais moments!

Plus vous utiliserez une unité de temps courte en trading, plus vous passerez d’ordres, et plus vous vous poserez de questions (je coupe? je laisse filer? est-ce que c’était le bon moment?) parce que vous allez subir le bruits de marchés (news, résultats…). Votre mental va être soumis à rude épreuve.

Avantages et inconvénients d’une unité de temps longue comme le Mensuel

Avantages :

– L’utilisation d’une unité de temps longue a d’abord l’avantage de s’affranchir de tous les bruits de marchés : vous savez toutes ces news qui tombent à longueur de journée et qui influencent le marché en permanence !

– Autre avantage : passer très peu de positions. Qui dit moins de positions, dit moins de frais !

– Et enfin, le plus important selon moi : ne pas être scotché sur son écran puisqu’on n’intervient qu’une fois par mois maximum ! …le reste du temps, on fait autre chose !

Inconvénients :

Je n’en voit qu’un : beaucoup moins de montées d’adrénaline car beaucoup moins d’activité ! On ne passe pas ses journées devant un écran, pas d’indicateurs, de figures chartistes. C’est une toute autre approche.

Quel rendement espérer ?

Biensûr, il n’y a pas de miracle, le rendement espéré n’est en rien comparable avec le rendement réalisé par de bons scalpeurs voire daytraders, alors que choisir? Plus de stress, d’heures passées devant un écran pour obtenir un rendement potentiellement supérieur?  ou plus de temps libre, moins de stress…et un rendement de l’ordre de 20 % par an sur le long terme en opérant 10 min voire moins par mois? Si vous n’êtes pas convaincu, vous avez une illustration ici de la stratégie que j’utilise.

Personnellement, j’ai fait mon choix depuis 4 ans et je ne reviendrai pas en arrière !

Si vous voulez tester la stratégie, inscrivez vous! :

à bientôt !

Laurent

 

Décupler la magie des intérêts composés

Les intérêts composés, c’est quoi ?

Einstein a dit :   “Les intérêts composés sont la plus grande force dans tout l’univers.”

Si vous n’avez jamais entendu parler des intérêts composés, vous avez certainement déjà touché du doigt la magie des intérêts composés. Prenons un exemple simple :

Vous placez une somme de 1000 euros à un rendement de 10% par an par exemple. A la fin de la première année, votre investissement va  générer 100 euros d’intérêts. Si vous ne touchez à rien et que le rendement reste à 10%, votre capital va être multiplié par 1,10 chaque année. Les intérêts perçus la première année seront de 100 euros, la seconde année de 110 euros, la troisième année de 121 euros…etc

Si l’on représente cette évolution sur un graphique, on obtient :

Comme vous pouvez le constater, la hausse du capital s’accélère dans le temps, sans aucun apport et sans que le taux de rendement n’aie été modifié! C’est juste l’effet des intérêts composés! Magique non? 

Juste pour information, la formule qui permet de calculer tout cela :

Cn = capital final
Cο =capital initial
n = durée du placement
t =  taux (0,10 pour 10% par exemple).

Quels enseignements en tirer?

Vous comprenez pourquoi on vous dit toujours : en matière d’épargne, plus on commence tôt…mieux c’est! Je rajouterai : Et plus on conserve longtemps et plus on bénéficie de l’accélération haussière!

Petite question :

Au bout de combien de temps double-t’on notre capital de départ?

Une fois de plus Einstein nous aide avec la règle des 72! Très simple :

Divisez 72 par le taux de rendement de votre placement et vous obtiendrez cette durée! Dans notre cas : 72/10 =7,2 ans. Un peu plus de 7 ans (voir graphe ci-dessus).

Comment faire vos propres simulations?

Pour faire des simulations, vous trouverez facilement des « calculatrices d’épargne » sur internet et si vous voulez aller encore plus loin, inscrivez-vous à la newsletter! Vous recevrez en retour un outil complet qui vous permettra non seulement de calculer votre épargne à terme en modifiant tous les paramètres souhaités mais aussi de calculer la rente mensuelle que vous pourrez générer à partir de ce placement!

Vu le contexte des retraites et ce qui se profile il est clair que les compléments de revenus vont devenir de plus en plus d’actualité! Il est donc grand temps de s’en préoccuper.

Bien sûr, si le capital de départ, l’effort d’épargne mensuelle sont des paramètres importants, le rendement l’est tout autant! Si vous faites des simulations, vous verrez que chaque point de rendement gagné ou perdu sur 15 ou 20 ans donne au final une différence de capital qui est loin d’être anodine!

Un exemple : 5000 euros placés à 10% se transformeront en 33000 euros au bout de 20 ans. Placés à 14%,  ces mêmes 5000 euros deviendront 68000 euros, soit plus du double! L’effet du moindre point de rendement gagné sur la durée est également exponentiel!

Combiner intérêts composés et rendements

On voit clairement que le temps est notre allié en matière
d ‘épargne mais pas que! Si l’on booste en plus le rendement de notre épargne sur  la durée du placement, on peut obtenir quelque chose…d’explosif! 

A bientôt!

Laurent

Le PEA, une opportunité pour vos placements

Nouvel engouement pour le PEA en France

Il y a en France environ 4,5 millions de PEA. Cet outil de placement a connu une récente hausse d’attractivité après être tombé sous le seuil des 4 millions suite  à la crise de 2007-2008. Cette hausse ou baisse d’attractivité est liée à la santé des indices boursiers! On est un peu dans l’effet de mode finalement…la bourse monte, on ouvre un PEA et quand elle baisse…on ferme! Nous allons voir que vous avez tout intérêt à continuer à placer de l’argent sur votre PEA y compris quand la bourse est en période difficile, comme en 2007, 2008 ou en 2000 pour remonter plus loin. Pourquoi? La bourse c’est une histoire de cycles. Il y a des cycles haussiers et des cycles baissiers, mais de manière globale, l’évolution est à la hausse depuis des années.

Les cycles boursiers :

évolution du S&P500 sur 180 ans

Qu’est-ce que l’on voit?  Depuis plus de 150 ans… l’évolution est à la hausse. L’indice américain S&P 500 prend en moyenne 8 à 9% par an depuis 150 ans… pas mal non?  Le CAC40 prend lui en moyenne un peu moins, aux alentours de 7 à 8% par an en moyenne. Pourquoi cette hausse perpétuelle des indices boursiers? Tout simplement parce que l’homme évolue de manière perpétuelle! De nouvelles technologies voient le jour chaque année et prennent le pas sur des technologies plus anciennes, et seront remplacées à leur tour dans quelques années par d’autres… et à chaque fois suscitent l’engouement des investisseurs. Donc en permanence, nous avons des secteurs d’activités qui cartonnent pendant que d’autres sont en repli… Mais globalement, sur le long terme, l’évolution est à la hausse!

Placer son argent sur un PEA et gagner sur le long terme

Alors bien sûr il y a des périodes de « corrections » qui sont tout à fait normales dès lors qu’il y a des excès, mais ces périodes ne représentent que 20% du temps. Une crise boursière dure en moyenne  1 an et demi à 2 ans.

Et notre PEA dans tout ça? comment peut-il s’en sortir gagnant?

Si on veut faire très simple et ne s’occuper de rien, en investissant par exemple sur un indice (S&P50, CAC40, Nasdaq…) via un tracker, et on laisse faire sur le long terme pour obtenir un rendement de 7 à 9% annuel… mais cela veut donc dire que l’on laisse  faire durant les baisses ! aîe… là ça devient plus compliqué… il faut tenir… et ne pas céder à la tentation de tout placarder!

Autre solution? 

Appliquer une stratégie Mensuelle qui permet de dégager un meilleur rendement (supérieur à 20% par an) en étant hors des marchés ou investi sur autre chose que des actions durant les crises, et subir des baisses temporaires beaucoup moins importantes. Au final, on obtient une courbe de gains qui ressemble à cela… en opérant seulement 10 minutes par mois.

Une fiscalité attractive

Pour finir, j’en parle un peu plus en détail ici, la fiscalité du PEA est attractive car  les plus-values ne sont pas imposables au bout de 5 ans (en dehors des prélèvements sociaux) d’où l’intérêt de conserver! et tant qu’il n’y a aucun retrait, il n’y a pas de prélèvement ! donc vous bénéficiez pleinement de la magie des intérêts composés (les intérêts qui génèrent à leur tour des intérêts…).

En conclusion, conservez votre PEA quoiqu’il arrive, vous avez tout à y gagner sur le long terme !

A bientôt!

Laurent